Le Traitement Chimique Préventif

(chaudières en marche)
Les causes de l'encrassement des surfaces d'échange et les solutions apportées par les procédé A.I.T. DRIVEX.


 L'INTERET DU TRAITEMENT CHIMIQUE PREVENTIF

La combustion des fuels lourds, des charbons, du bois, des ordures ménagères et des déchets spéciaux génère des cendres incombustibles et/ou des imbrûles carbone qui participent à l'encrassement des surfaces d'échange des générateurs de chaleur : chaudières à eau chaude ou à vapeur, de récupération et autres fours de réchauffage de fluides.

De même, l'huile de lubrification qui s'échappe des moteurs à gaz ou à fuel dans les installations de cogénération, se fixe sur les échangeurs destinés à produire de l'eau chaude ou de la vapeur.

Pour éliminer ces dépôts, il faut utiliser les systèmes de nettoyage en marche, s'il y en a, ou arrêter les chaudières périodiquement pour les nettoyer. Ces opérations coûtent cher : énergie gaspillée (vapeur, air comprimé), grenaille, entretien des appareils de ramonage, remplacement des tubes érodés mais également en pertes de production consécutives aux arrêts pour nettoyage programmés ou non.

Le Traitement Chimique Préventif est donc le seul moyen :
  • de pallier les insuffisances, les défaillances voire même l'absence des systèmes de nettoyage en marche,
  • de ralentir l'encrassement,
  • de faciliter les nettoyages périodiques,
  • de neutraliser l'acidité des dépôts.

 L'ENCRASSEMENT DES SURFACES D'ECHANGES (côté feu)


Les causes sont nombreuses. On peut cependant distinguer les causes fatales et les causes accidentelles.

 1/ LES CAUSES FATALES 

Il y en a plusieurs. Par exemple :

 La composition des combustibles. 

La composition des combustibles liquides commercialisés en France entre autres, a beaucoup évolué depuis 25 ans. Les process de raffinage des pétroles bruts ont fait l'objet de nombreux perfectionnements destinés à extraire le maximum de produits blancs pour lesquels la demande augmentait considérablement.

Les sources d'approvisionnement ont été diversifiées : les bruts utilisés n'ont pas tous les mêmes caractéristiques chimiques : teneurs en asphaltènes, en soufre ou en vanadium et sodium peuvent varier d'un brut à un autre.

Pour pouvoir commercialiser les produits noirs devenus trop abondants, on les a mélangés à d'autres produits plus légers.

En dépit des précautions prises, ces produits sont plus salissants qu'auparavant. Ils peuvent sédimenter dans les cuves sous l'effet du réchauffage, les asphaltènes encrassent les filtres et les nez de brûleurs, les dépôts vanado-sodiques colmatent les passages de gaz dans les surchauffeurs, etc.



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 La provenance des charbons. 

Les sources d'approvisionnement ne sont plus françaises mais mondiales. Pour des compositions élémentaires comparables, le comportement au feu de ces charbons peut générer des problèmes d'encrassement qu'il faut maîtriser. Cela peut demander du temps ; pendant ce temps, les surfaces d'échange s'encrassent.


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 L'obsolescence et le vieillissement des équipements de chauffe. 

En 1995, une enquête très sérieuse publiée par l'un des principaux organismes de contrôle des appareils à pression indiquait que 60% du parc de chaudières françaises avait plus de 20 ans. Même bien entretenus, les équipements de chauffe : groupe de préparation des fuels, brûleurs, grilles à charbon, systèmes de ramonage en marche sont moins performants que lors de leur construction.

L'encrassement des surfaces d'échange devient plus rapide, les nettoyages moins efficaces.



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 Le surdimensionnement des moyens de production d'énergie. 

Avant de conduire les exploitants à envisager d'autres formes de production d'énergie, la réduction des besoins en énergie des dernières décennies les a d'abord amenés à diminuer la charge des chaudières. Cependant, l'Homme de l'Art sait bien que le rendement d'un générateur est moins bon à 50% du nominal qu'à 80% ; l'encrassement est donc devenu plus important et plus rapide.

 La technologie de certains générateurs. 

A quelques exceptions près, il est rare de trouver des chaudières à tubes de fumée fonctionnant au fuel lourd ou au charbon ou des chaudières de récupération équipées de ramoneurs à vapeur ou à air comprimé.

Seules les installations de cogénération de grande puissance équipées de chaudières produisant de la vapeur à haute pression peuvent utiliser des ramoneurs à vapeur à condition de disposer d'une quantité suffisante.

Les installations qui ne produisent que de l'eau chaude ne sont équipées d'aucun système de nettoyage en marche ; les récupérateurs de chaleur doivent être nettoyés à l'arrêt dans des conditions très difficiles.


 2/ LES CAUSES ACCIDENTELLES 

Elles tiennent très fréquemment à des défaillances mécaniques passagères : usure des pastilles de brûleurs, coke au nez des brûleurs, blocage des régulateurs d'air, systèmes de régulation de la combustion, appareils de ramonage, etc.

Les variations de charge trop fréquentes et de grande amplitude sont plus souvent la cause principale d'un encrassement rapide.

Les nettoyages humides répétés peuvent également contribuer à la formation de dépôts très durs, souvent acides, qui encombrent progressivement les passages de gaz.

Enfin, dans les installations de cogénération équipées de moteurs à gaz ou à fuel, c'est très souvent la trop grande consommation de lubrifiant qui provoque l'encrassement des échangeurs.



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 LA SOLUTION A.I.T. DRIVEX



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Le Traitement Chimique Préventif développé par A.I.T. DRIVEX depuis de très nombreuses années permet :
  • De rendre toute leur efficacité aux systèmes de nettoyage en marche : ramoneurs à vapeur, à air comprimé, frappage, vibreurs, en interposant entre les dépôts et les tubes un film protecteur à haut point de fusion qui empêche les cendres de coller sur les tubes les plus chauds : tubes coup de feu , surchauffeurs.
  • De détruire les imbrûlés carbone par oxydation.
  • De contribuer à la neutralisation de l'acidité des dépôts.

Dans certains cas, le Traitement Chimique Préventif peut pallier l'absence de tout système de nettoyage en marche.

 
 LES AVANTAGES DU PROCEDE


A.I.T. DRIVEX propose des réactifs originaux :

Ils sont :

Liquides, donc faciles à injecter dans la flamme des brûleurs ou au-dessus du lit de charbon ou de déchets enflammés ou à atomiser dans la veine de gaz de combustion.

Sûrs, parce qu'ininflammables et exempts de métaux lourds ou de chlore. Ils n'attaquent pas les matériaux des générateurs métal des tubes ou réfractaires. Ils ne génèrent pas de rejets nocifs pour l'environnement.



Le foyer AVANT l'injection du produit
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Efficaces. Leur caractère filmogène et rémanent sur les surfaces d'échange permet de s'affranchir largement des variations de charge des générateurs ou de la composition du combustible en particulier dans les usines d'incinération.

Plusieurs formulations sont disponibles. Elles sont adaptées à chaque type de dépôts : imbrûlés carbone, cendres fondues.



Le foyer PENDANT l'injection du produit
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Economiques. Ils ne sont pas injectés en continu. La régénération de la pellicule réactive est obtenue grâce à quelques injections quotidiennes seulement.

Les dosages sont faibles : 2 à 3 kilos de produit pour 10 000 kilos de combustible en moyenne.



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 OBJECTIFS

L'utilisation continue de l'un des réactifs de Traitement Préventif permet donc :
  • De maintenir les surfaces d'échange en bon état de propreté plus longtemps, donc d'économiser le combustible.
  • De ramoner moins souvent à la vapeur ou à l'air comprimé donc d'émettre moins de produits polluants (poussières, fumerons acides) à l'atmosphère.
  • D'espacer l'utilisation des systèmes de nettoyage.
  • D'espacer les nettoyages périodiques et de les faciliter lorsqu'ils seront nécessaires.


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